Le maire s’est engagé à ne pas contredire l’avis des représentants unanimes d’une CAP. Pourtant, c’est le cas pour celle du 22 juin 2016.
La CFDT est inquiète :
• les agents ne peuvent-ils pas travailler en confiance, s’exprimer librement dans le respect des devoirs impartis à tout fonctionnaire ?
• le respect des règles de la CAP est-il devenu annexe au vu du retard avec lequel le maire a motivé sa décision ?
• la CAP est-elle devenue un ersatz de procédure disciplinaire ?
Le message envoyé aux agents est rude, sans bienveillance ; celui adressé aux organisations syndicales, laisse augurer d’un chemin vers le dialogue social assez tortueux. La CFDT a répondu à la motivation du maire, jugée non compréhensible, a déposé une contribution écrite dans chacune des 3 CAP résiduelles du 9 novembre…et reste vigilante. Continuer la lecture